Témoignages sur robot d'alimentation Triomatic

Plus de chèvres et moins de travail

Bart Smolders a choisi un robot d'alimentation plutôt que du personnel.

Bart Smolders est éleveur caprin. Avec 1 200 chèvres laitières et 400 chèvres d'élevage, son entreprise VOF GeBaGeitenhoeve aux Pays-Bas est un élevage de chèvres de taille moyenne. Bart Smolders gère avec sa femme Geertje la ferme qu'il a repris de ses parents il y a six ans. Smolders a une stratégie claire pour son entreprise. Bien qu'il ne puisse pas se développer pour l'instant, il a décidé il y a quelques années d'axer son entreprise sur l'avenir. 

Automatiser ou engager du personnel

Le lait de chèvres a le vent en poupe. La demande en lait de chèvres n'a cessé d'augmenter ces dernières années. On n'observe pas cette tendance qu'aux Pays-Bas, mais aussi en Asie et aux États-Unis. Les personnes intolérantes au lactose découvrent massivement qu'elles supportent mieux le lait de chèvres en raison de ses protéines plus légères et plus digestes. Les exploitations caprines connaissent donc un succès grandissant. Avec seulement deux personnes dans son entreprise, Bart Smolders avait du mal à suivre le rythme. Il y a quelques années, il a décidé de construire une nouvelle étable et a dû faire un choix : automatiser ou engager du personnel. Il a opté pour l'automatisation. 

En 2015, Smolders a fait construire le nouveaux bâtiment et est passé de 800 à 1 200 chèvres. Il ne lui a pas fallu longtemps avant de choisir un robot d'alimentation. Bart Smolders : "Le nourrissage est une tâche quotidienne fastidieuse et avec cinq groupes d'animaux, cela peut prendre facilement 2 heures 30 par jour. Après l'extension, je suis passé de cinq à huit groupes de bêtes. Le nourrissage m'aurait alors pris trop de temps." 

Le Triomatic mélange correctement de petites quantités de fourrage.

Depuis deux ans, la ferme de Geitenhoeve est équipée d'une cuisine d'alimentation Triomatic T30 avec quatre trémies de stockage et un robot d'alimentation roulant. "Le conseiller en agencement de bâtiment nous a recommandé un robot d'alimentation Trioliet. J'ai tout de suite été sous le charme du robot roulant qui venait d'être lancé à l'époque. Je suis content de ne pas avoir choisi un autre système, même si je me suis d'abord intéressé à une autre marque. Il n'existe pas d'autre robot qui mélange aussi bien et avec autant de précision, et qui dose aussi uniformément que celui-ci. Généralement, les systèmes des autres fabricants ne peuvent mélanger et doser correctement que des rations de 250 kg ou plus. Le robot Triomatic peut effectuer des mélanges bien plus petits. C'est pourquoi je trouve que ce robot d'alimentation convient tout aussi bien chèvres qu'aux vaches."

L'économie de travail constitue le principal avantage

À la ferme de GeBaGeitenhoeve, les chèvres sont traites deux fois par jour et la production annuelle moyenne est environ de 1 300 litres par chèvre. La ration se compose de maïs, d'herbe, de luzerne, de pulpe de betterave et de cinq sortes de fourrage concentré. Une fois par jour, Bart Smolders remplit les quatre trémies d'alimentation, ce qui lui prend à peu près une demi-heure. L'économie de travail constitue également le principal avantage à ses yeux. Smolders : "J'étais déjà quelqu'un qui nourrissait avec précision, même avant d'utiliser le robot d'alimentation. Cela signifie que les avantages en matière de rendement et de santé animale sont moins importants pour moi. Quelqu'un qui passe du nourrissage avec une seule ration de base au nourrissage précis en groupes avec un robot d'alimentation constatera alors une différence considérable dans les résultats. Pour moi, c'est principalement l'économie de travail qui constitue le principal avantage. Désormais, nous pouvons gérer la ferme à deux temps-pleins, ce qui n'est pas non plus négligeable bien sûr."

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